• - CHAPITRE 15.3 - (+18)

    - DAN - 

     

    ( Fuis-moi et je te suivrais… Suis-moi et je te fuirais...)

     

    - CHAPITRE 15.3 - (+18)

     

    ******

    -       Kikoo, t'es là ????

     

    (...)

     

    -       Hey hooo !!!!

     

    (...)

     

    *****

     

    Bien que son statut soit porté "En ligne" et qu'il fut assis devant son ordi, Dan ne répondit pas. Il avait décidé de la faire poireauter un peu... Et ça fonctionnait à la perfection. Il ignorait ses appels depuis leur soirée, et elle ne cessait de le relancer. Elle s'impatientait. Dan décida de mettre un terme à son manège pour ne pas se la mettre à dos. Il ne fallait pas non plus qu'elle pense, qu'elle ne l'intéressait plus:

     

    ******

    -     - Salut ma belle.

     -       Salut. Je pensais que tu m'évitais. Je ne t'ai pas entendu de tout le weekend.

    -   Désolé, j'ai eu beaucoup de travail. J’étais connecté, mais je n'avais pas le temps de discuter.

    -     Même pas avec moi ?

    -  Je fais une exception pour toi là, ma chérie.

    -   C'est gentil. Tu penses qu'on peut se voir ce soir ?

    - J'ai du boulot, je ne pense pas pouvoir me libérer.

     -   J'ai beaucoup mieux que du boulot à te proposer...

    -   Tu attises ma curiosité, là.

    -       J'ai envie que l'on reprenne là où on s'est arrêtés vendredi soir. J'ai remarqué quelque chose qui m'a mise en appétit.

    - Quoi donc ?

    - Tu es sacrément bien membré mon cher !

     

    Devant son écran, Dan éclata de rire. Elle était sacrément culottée cette pétasse !!!! A force de jouer avec lui, elle finirait par trouver ce qu'elle cherchait. Avec un bonus en prime.

     

    -   Je ne pourrais pas, j'ai pris du retard, il faut que je rattrape ça.

    -       Au point où tu en es... Allez STP !!!!

    -   J'essaierais, mais je ne te promets rien. Je te tiens au courant.

    -       Ok, j'espère que tu viendras. Je te ferais décompresser pendant quelques heures.

    -   Lol. J'y vais, il faut que je fasse le maximum si je veux pouvoir m'accorder un moment avec toi.

     

    Dan fit passer son statut en "Occupé" avant de se rejeter en arrière sur son fauteuil. Les bras croisés sur sa nuque, il fit pivoter son siège de façon à se retrouver face à la fenêtre. Il jeta un coup d'œil à l'extérieur. La rue était calme. Bizarre d'ailleurs, un jour de semaine, un mardi qui plus est.

     

     

    Haussant les épaules, il saisit une liasse de feuillets et en consulta le contenu. Il s'agissait d'un dossier de location pour un des appartements qu'il avait visité la veille. Depuis son altercation du weekend avec ses parents, il avait accéléré les choses pour déménager au plus vite. Il les évitait autant que possible depuis 3 jours. Partant tôt le matin, et rentrant tard le soir après que tout le monde soit couché.

     

    Il avait visité 4 appartements en compagnie de l'agent immobilier et était tombé amoureux d'un grand T4 lumineux dans une résidence récente, il y avait en prime un immense balcon qui lui donnait une vue extraordinaire sur SanMyshuno, la ville voisine. Le loyer était un peu élevé, mais l'avantage était qu'il avait la possibilité d'acquérir l'appartement dès qu'il le voudrait. Dan n'était pas de ceux qui faisaient usage de passe-droit, mais là il avait vraiment besoin de s'en aller au plus vite. Il avait fait ce qu'il fallait pour s'assurer que l'appartement ne lui passerait pas sous le nez. Et avant même qu'il ne l'ait déposé, il était certain que son dossier serait accepté. Allongeant ses jambes, Dan soupira. Il avait l'intention de partir dans le courant de la semaine suivante si tout se passait comme prévu. Il espérait que d'ici là il n'y aurait pas d'affrontements. Particulièrement avec sa mère.

     

    Il regarda songeusement une veine qui saillait sur le dos de sa main, puis il tourna la tête vers l'immense miroir qui était fixé au mur, en face de son lit. Son reflet dans la glace était celui d'un homme, pas d'un petit garçon. Qu'elle le veuille ou non, elle accepterait son départ. Point final !

     

     

    Le téléphone de Dan se mit à sonner, la musique rn’b qui avait remplacée depuis peu son ancienne sonnerie le fit sursauter. Il ne reconnut pas l'identifiant. Qui pouvait bien l'appeler à cette heure-ci ?

    Il décrocha:

     

    -       Allô ? dit-il d'une voix peu amène.

    -       T'es de mauvais poil ou quoi ???

    -       (...) Putain, c'est qui là ?

    -       Tu ne me reconnais pas ? Dan... Tu me déçois vraiment mon chou. La lumière se fit dans son esprit:

    -       Syndra ?

     

    - CHAPITRE 15.3 - (+18)

     

    -       Hé ben, il t'en a fallu du temps! Quoi que tu es excusable, on se parle tellement rarement.

    -       Désolé ma douce, j'ai le cerveau en compote ces derniers temps.

    -       C'est parce que tu penses trop à moi je suppose ? répliqua-t-elle.

    -       Je pense à toi sans cesse ma belle, depuis que tu m’as brisé le cœur.

    -       Ah! N'importe quoi, arrête ton char Dan.

    -       Mais c'est la vérité.

    -       Je n'en doute pas... Je t'appelais pour avoir un peu de tes nouvelles, tu te fais vraiment trop rare.

    -       J'ai du travail par-dessus la tête, c'est surtout ça.

    -       Je vois... Et puis tu m'avais demandé un service dernièrement, comme tu ne m'as rien dis, je voulais savoir si ça tenait toujours ?

    -       Bien sur, c'est juste que la petite blague que je veux mettre en place prend plus de temps que prévu. Mais ne t'inquiète pas je te fais signe.

    -       Je peux savoir ce que tu mijotes ? demanda-t-elle.

    -       C'est top secret, mais ça risque d'être fort marrant. En tout cas pour moi.

    -       Tu ne changeras jamais, en tout cas j'espère qu'elle ne va pas t'étriper après ça.

    -       Qui te dit qu'il s'agit d'une femme ?

    -       Te connaissant, il ne peut QUE s'agir d'une femme.

    Dan se mit à rire:

     

    -       Ah Syndra! Tu m'amuses. Tu es trop clairvoyante. Il s'agit bien d'une femme. Mais ce n'est rien de bien méchant t'en fais pas. Ah au fait, pendant que j'y pense !

    -       Je t'écoute.

    -       J'aurais bientôt mon appartement, je t’invite déjà pour la pendaison de crémaillère. En tête-à-tête bien sûr... Tu n'aurais qu'à laisser ton ptit mari à la maison.

     

    -       Dan ! Tu es incorrigible !!! s'exclama t-elle hilare.

    -       Je plaisante, je plaisante ! S'il y a bien une chose dont je suis respectueux, ce sont les liens sacrés du mariage. Tu n'as donc rien à craindre de moi.

    -       Je savais bien qu'au fond, tu étais un gentil garçon.

    -       Un dur au cœur tendre, j'avoue, mais n'en fais pas étalage.

    -       Compte sur moi. Sur ce, je te laisse. Mon mari vient de rentrer.

    -       Ne me dis pas que tu n'as pas eu le temps d'enfiler une petite nuisette en dentelle pour une folle nuit d'amour ! Si j'étais ton mari, j'exigerais de toi que tu m'attendes chaque soir dans une tenue différente.

    -       Pas ce soir...

    -       Épouse ingrate va ! Il rentre du boulot éreinté et toi, même pas un effort ! Allez Syn, je te laisse t'occuper de ton homme. On se rappelle bientôt ma chérie. Je te fais des bisous !

    -       A bientôt. Dan. (Clic)

    Le sourire aux lèvres, Dan lança nonchalamment son portable sur le lit, celui-ci atterrit mollement sur le matelas. Un coup discret frappé à la porte de sa chambre attira son attention:

     

    -       Entrez !

     

    Sa mère avança dans la pièce, l'air malheureux:

     

    - CHAPITRE 15.3 - (+18)

     

     

    -       Excuse-moi de te déranger Dan. Est-ce qu'on peut parler ?

    Dan soupira :

    -       Pas longtemps, je dois sortir, j'ai un rendez-vous.

    -      Ne t'inquiètes pas je n'en ai pas pour longtemps. Je voulais juste m'excuser de mon attitude de samedi. Je suis désolée, mon chéri, de m'être emportée. Mais est-ce vraiment nécessaire que tu t'en ailles ?

    -       Maman...

    -       D'accord, d'accord... Je n'ai rien dit. Tu as besoin d'espace et d'indépendance, je comprends.

    -       Il le faut bien de toute façon, j'arrive à un stade de ma vie où il faut que je sois dans mon propre environnement. Et ça n'a rien à voir avec une fille.

    -       Ok, Si jamais tu as besoin d'aide pour ton déménagement, je peux t'aider si tu veux.

    -       Merci maman.

     

    Elle sortit de la pièce, abattue. Dan se sentit misérable l'espace d'un instant, mais il se ressaisit. C'était ainsi, et il faudrait bien qu'elle s'y fasse. Avisant la petite pendule posée sur une étagère, il se rendit compte qu'il était déjà presque 20h30. Elodie était encore connectée au site de rencontre, attendant sans doute qu'il lui fasse savoir s'il viendrait ou pas. Il décida qu'il devait accélérer les choses pour qu'il puisse en finir avec elle. Tout d'un coup, il en eut marre de ce petit jeu. L'envie de passer à autre chose se manifesta. Il n'avait plus du tout envie de se consacrer à cette histoire, mais bien à une autre personne qui en valait plus largement la peine. Il se mit à pianoter sur son clavier:

     

    - Je viens te chercher dans environ une heure, habille toi sexy ma chérie.

    -       Ne t'en fais pas pour ça. A toute !

     

    Dan s'habilla simplement et ouvrit le tiroir de son bureau.

     

    - CHAPITRE 15.3 - (+18)

     

     

     

     

     

    Il mit dans sa poche un petit objet qui tenait aisément dans un poing fermé et fourra dans un sac à dos un sac en papier noir au logo évocateur. Le point culminant de son plan serait pour ce soir. Après ça, il la tiendrait par la peau des fesses, elle serait complètement à sa merci.

     

    Il s'arrêta à un motel en dehors de la ville afin de faire une réservation. Après qu'il eût réglé, le réceptionniste lui remit les clefs d'une chambre dont Dan poussa la porte quelques minutes plus tard. Il inspecta les lieux. Il y avait une mini kitchenette, un grand lit double et une commode dans laquelle se trouvait une bible. Dan ricana, si elle avait envie de prier ce soir, cette bible ne lui serait d'aucune utilité, car aucun Dieu sur cette Terre ne pourrait la sauver de ce qui l'attendait. Puis il jeta un coup d'œil autour de lui, il cherchait l'angle parfait pour tout mettre en place. Il avisa une petite étagère à mi-hauteur d'une table en bois massif, juste en face du lit, sur laquelle étaient posés une lampe et un vase rempli de fleurs. Parfait ! Cela ferait l'affaire. Il plongea la main dans sa poche et y posa l'objet qu'il avait récupéré quelques heures plus tôt dans le bureau dans sa chambre. Il sortit un à un les objets que contenait le sac en papier et cyniquement les posa dans le tiroir de la commode, à côté de la Bible. Puis fourra le sac à dos sous le lit. Il s'agita encore quelques instants dans la chambre pour tout vérifier, puis sortit.

     

    (...)

     

    Il était déjà 21h30 quand il arriva devant chez Elodie. Elle l'attendait dehors assise sur un petit muret de pierre. Elle portait une robe moulante très courte dont le décolleté menaçait de laisser échapper ses occupants à chaque mouvement. Elle vint à sa rencontre sans lui laisser le temps de venir lui ouvrir et s'installa dans la voiture.

     

    -       Bonsoir toi, roucoula-t-elle.

    -       Bonsoir jolie demoiselle. Tu veux me faire perdre mes moyens à ce que je vois.

    -       Mais c'est justement fait exprès pour que tu ne puisses pas les perdre.

     

    Il lui lança un regard enflammé sans répondre à la provocation. Puis il se remit en route. Arrivés à destination, elle ne parut pas surprise de l'endroit où il l'avait emmenée. Après tout, elle l'avait appelé pour une chose, une seule et ce serait ridicule de sa part de jouer à l'effarouchée, pensa Dan. Dans le hall d'entrée le réceptionniste ne leur prêta pas attention, tout absorbé qu'il était par un match de foot qui passait sur une télévision portative. Dan la précéda dans les escaliers et lui ouvrit la porte de la chambre. Elle avait l'air impatiente de passer aux choses sérieuses, car sans préambule, elle se jeta sur lui et l'embrassa avec voracité.

     

     

    - CHAPITRE 15.3 - (+18)

     

     

    Dan lui rendit son baiser tout aussi fougueusement, parcourant fiévreusement son corps parfait. Elle s'arracha à lui et sans le quitter des yeux, fit glisser les bretelles de sa robe par-dessus ses épaules. La réaction de Dan fut fulgurante. Mais il prit sur lui:

    -       Chérie, attend une seconde. J'ai envie de t'initier à un petit jeu.

    -       Qu'est-ce que c'est ?

     

    -       Ouvre le tiroir de la commode.

     

    Elle s'exécuta et ne parut pas choquée par tout l'attirail qui s'y trouvait.

     

    -       Je ne pensais pas que tu aimais ce genre de chose Dan. Je suis agréablement surprise. Tu es un petit coquin à ce que je vois.

    -       Tu n'as pas idée à quel point, dit-il sur ton doucereux. Est-ce que toi tu serais assez coquine pour jouer avec moi ?

    -       Tu veux voir ?

    -       Vas-y. Montre moi de quoi tu es capable bébé.

     

    Elle se tourna et Dan en profita pour s'approcher subrepticement de l'étagère. Le « clic » passa inaperçu, tant elle était occupée à sa petite démonstration. Elle continua de s'effeuiller lentement, et tandis que sa robe glissait sur ses longues jambes fuselées, Dan pût à loisir admirer son corps musclé.

     

     

    - CHAPITRE 15.3 - (+18)

     

     Elle n'avait pas fait les choses à moitié, ses sous-vêtements noir et rouge lui conféraient une allure de putain. Tant par la couleur que par la forme. Sa poitrine généreuse était mise en valeur par le soutien-gorge d’un body dont la dentelle appelait aux caresses. Et le string qui y était assorti ne demandait qu'à s'entortiller autour de ses cuisses. Dan ferma les yeux. C'était terrible pour lui, il devait se concentrer pour ne pas tout faire foirer. Et son abstinence des derniers mois n'arrangeait rien. Il humecta de sa langue ses lèvres sèches, ce qu'elle prit pour un encouragement.

     

    - CHAPITRE 15.3 - (+18)

     

    Elle s'allongea sur le lit et fit glisser ses doigts dans le sillon de son ventre. Elle lui jeta un regard, provocant, félin et terriblement excitant. Il ne la quittait plus des yeux tandis qu'elle écartait le compas de ses jambes pour lui offrir une vue plongeante sur ce qu'elle avait à offrir. Il tira une chaise pour ne pas que ses jambes à lui se dérobent par trop d'excitation, et s'assit loin du lit, près de la fenêtre.

     

    -       Tu es trop loin mon amour, rapproche-toi de moi, minauda t-elle

    -       Ne t'inquiètes pas, je te vois très bien, je ne veux simplement pas te sauter dessus tout de suite, je veux profiter du spectacle. Continue bébé, excites-moi, comme jamais tu n'as excité un homme.

     

    Ces mots suffirent à la convaincre et elle s'enhardit. Ses doigts couraient le long de sa peau, effleurant les parties sensibles de son corps. Dan ne doutait pas qu'à ce moment, elle aurait fait n'importe quoi pour qu'il la rejoigne, mais il fit durer encore le plaisir:

     

    -       Utilise-les chérie. Fais-moi voir comment tu t'en sers.

    -       Je préférerais que ce soit toi.

    -       Chaque chose a son temps mon cœur. Fais-moi plaisir.

     

    Elle prit l'un des objets qui avaient glissé par terre. Il était long et lisse, elle le fit glisser sur sa poitrine, et le lécha afin de l'humecter. Puis elle l'enfonça loin dans son intimité, imprimant un va-et-vient cadencé.

     

     

    - CHAPITRE 15.3 - (+18)

     

     

     

     Ses yeux se fermèrent du plaisir qu'elle se donnait. Et Dan, qui avait de plus en plus de mal à rester stoïque, déglutit. Les gémissements de plaisir d'Elodie, le torturaient. Il avait envie... Mais ce n'était pas encore terminé.

     

    -       Utilise l'autre aussi. En même temps. Et tourne-toi dit-il d'une voix rauque.

     

    Perverse, elle obéit. Comme si elle n'attendait que ça. Et surtout, comme si elle avait fait ça toute sa vie, car sa dextérité avec les deux engins impressionna Dan. Elle s'appliquait. A tel point qu'elle atteignit en à peines quelques minutes l'apogée de son plaisir. Loin d'être repue, elle se tourna vers Dan:

     

    -       Viens maintenant, et baise-moi.

     

    Si tel était son bon vouloir... Il se leva, ôta son T-shirt et le lança avec dextérité sur l'étagère. Le vêtement avait atteint son but et il emplit correctement son office. Le jean resta orphelin sur le sol tandis que Dan avançait vers le lit, sa virilité magistralement pointée vers le ciel. Il enfila rapidement un préservatif et la rejoignit. Il ne s'embarrassa pas de préliminaires et s'enfonça en elle de toutes ses forces. Ça faisait longtemps qu'il n'avait pas connu la sensation de tenir un corps nu de femme dans ses bras.

     

    - CHAPITRE 15.3 - (+18)

     

     

    Il était dur comme la pierre et impatient. Il allait et venait en elle, prenant plus qu'il ne donnait. Et elle aimait ça. Il ne la ménageait pas, et elle aimait ça ! Dan se défoulait sur elle, toute sa rage contenue, toutes ses frustrations, et elle appréciait sa brutalité.

     

    - CHAPITRE 15.3 - (+18)

     

     

    Il emprisonna son cou, en serrant chaque fois un peu plus, et elle apprécia. (A croire que cette pute est sado-maso) songea-t-il tandis qu'il la pilonnait de plus en plus fort :

     

     

    -   T’es une petite salope, hein, pas vrai ?

    -   Oh oui, oui, je suis ta salope à toi.

    -   Dis que tu aimes ce que je te fais, dis-le, salope.

    -   Oh oui, j’aime ça, j’aime trop ça !!!!

     

     

    - CHAPITRE 15.3 - (+18)

     

     

    Il fit passer ses jambes par-dessus ses épaules pour aller plus loin encore et elle en redemanda. Il la prit avec une telle intensité qu'il ne put se contenir très longtemps. Il explosa, mais resta toujours au garde-à-vous, prêt pour le 2ème round.

     

     

    - CHAPITRE 15.3 - (+18)

     

     

    (...)

     

    Cette fille était insatiable. Après plusieurs heures d'une joute sexuelle acharnée, elle s'avoua vaincue, enfin. Dan s'assit sur le lit, nu. Il pensait qu'elle dormait, mais elle lui caressa le dos.

     

    -       Ça veux dire quoi ton tatouage ?

    -       C'est une représentation de ce que je suis. Mi ange, mi démon.

    -       Et les idéogrammes ?

    -       Ce sont les symboles de la lâcheté, du vice, de la haine, de la loyauté, du courage et de l'abnégation. Tout ce que j'ai été par le passé et tout ce que je suis maintenant.

    -       C'est très joli... Bon, je vais me doucher. Tu viens ?

    -       Vas-y, je te rejoins dans une seconde.

     

    Elle se dirigea en chaloupant des hanches vers la salle de bain. Dan ne lui jeta pas un seul regard. Il attendit que l'eau se mette à couler pour se lever à son tour. Il récupéra son T-shirt dont la manche pendouillait tristement. La petite caméra luisait doucement dans la faible clarté de la chambre, comme un clin d'œil aux secrets qu'elle renfermait à présent.

     

    - CHAPITRE 15.3 - (+18)

     

    *********************

     

     

     

     

     

    <  Chapitre 15.2                                                                                                                                                                                                                                                                   Chapitre 16.1 > 


  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :